« Dans notre histoire très patriarcale, beaucoup d’arts textiles sont restés des arts mineurs, parce que domestiques. Une façon pour moi de déplacer ça dans la sphère publique et de le valoriser, c’est de lui accoler un prix juste. Il faut prendre conscience qu’on n’a jamais rémunéré le travail des femmes à la maison et qu’on l’a toujours tenu pour acquis. Le chemin est long pour le faire reconnaître, mais il passe par l’éducation et l'appréciation juste d’un travail laborieux, dévoué et qui s’étale parfois sur plus d’une centaine d’heures par courtepointe ».
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